Découvrez les visages passionnés qui animent l’Inter Club Valais :
une équipe soudée, engagée à faire vibrer tous les amoureux des Nerazzurri au-delà des frontières ! 🖤💙
La grand-maman de Gregory est originaire du nord de l’Italie. “Il fallait donc soutenir un club de la région”, nous raconte-t-il.
Mais pourquoi avoir choisi l’Inter? “
Car c’est un club ouvert à l’international. Et il a notamment été fondé par des Suisses.”
Quand Greg était gamin, l’Inter était habituée aux finales de Coupe UEFA. Perdues ou gagnées… En championnat, l’Inter se battait pour le top 10, pas pour le Scudetto. “C’est peut-être pour ça que je suis autant fier d’être un supporter de l’Inter: d’avoir commencé à aimer ce club quand il n’était pas dans ses plus grandes années!”, s’exclame le Grangeard.
Pour lui, supporter un club qui domine déjà tout son pays et la scène européenne est trop facile. “J’ai appris à souffrir avec ce club pour, en 2010, être récompensé quand l’Inter a tout gagné.”
Parmi les joueurs qui l’ont particulièrement marqué trône Ronaldo”Je parle du VRAI Ronaldo, pas de celui qui a fini sa carrière sur un banc et qui est passé par la Rubentus.”
Il y a “évidemment” aussi eu les Allemands des années 90.
Les Italiens avec notamment Materazzi. Puis tous les Argentins, avec “Il grande Capitano” Javier Zanetti en tête.
“Une fidélité et un engagement sans faille. Si je devais me faire tatouer un jour, ce serait peut-être bien sa tête.
Mais il faut que j’en parle à ma femme d’abord”, sourit-il. Le premier match de l’Inter de sa vie est un match de championnat contre la “Rubentus” à… Turin, au Stadio delle Alpi, le 29 novembre 2003. “Mon idole Julio Cruz avait marqué. Que c’était bon de repartir victorieux de là-bas!”.
Que représente l’Inter pour Greg? “
C’est une façon de vivre, une mentalité: seul contre tous. Et c’est de la fidélité. Qu’on soit 8e (et j’en ai connu des saisons où on a fini entre la 5e et la 10e place), 4e ou premier, je serai toujours là. »
Grâce à son oncle (bianconero!), notre second vice-président suit les épopées européennes du club en coupe UEFA en 96/97 et 97/98. Le coup de foudre est immédiat. “
Mais pourquoi avoir choisi l’Inter?
J’ai choisi de supporter l’Inter tout seul car le reste de ma famille était pour la Juventus”, explique-t-il. “C’était pas facile toutes les saisons, c’était David contre Goliath, mais on sait tous comment ça se termine”.
Trois joueurs l’ont particulièrement marqué. Ronaldo, tout d’abord. “Sa vivacité balle au pied m’impressionnait. Il était trois niveaux au-dessus de ses adversaires et pouvait faire basculer un match”, se souvient-il. Javier Zanetti, ensuite. “
Il a connu les hauts et les bas de l’Inter, a joué à plusieurs postes et a connu plusieurs entraîneurs mais a toujours été irréprochable sur le terrain et en dehors, à l’image de sa coupe de cheveux légendaire”.
Et Dejan Stankovic dit “Deki”. “J’appréciais sa qualité de frappe et sa hargne.” Il dédie une mention spéciale à Mourinho et Moratti. “Ils ont permis le seul et unique triplé italien.
La saison parfaite et une équipe expérimentée incroyable.” Pour sa première à Giuseppe Meazza, Thierry a le droit à un match de fou. Le fameux Inter – Sampdoria du 9 janvier 2005. Menée 0-2 à la 88e, les Nerazzurri l’emportent 3-2 à la 93e minute. “
Alors que le public commençait à quitter les gradins comme on arrivait pas à marquer, le stade s’est mis à trembler en 5 minutes. C’était le feu”, se remémore-t-il. C’est le premier match qui m’a montré le sens de l’expression “Pazza Inter”.
Cette passion pour les couleurs noires et bleues, Thierry est heureux d’avoir pu la transmettre à sa femme et plusieurs amis. Abonné depuis bientôt 6 ans, il fait quelques sorties à Milan les week-ends et des déplacements avec un autre petit groupe de Martigny.
Mais le plus beau réside dans sa maison. “J’ai instauré un rituel avec ma fille. Quand on est chez nous et que l’Inter joue, on mange du popcorn au chocolat devant le match et on fête les buts ensemble. »
Notre cher secrétaire Patrice est tombé dans la marmite noire et bleue plus tard que le reste de l’équipe.
Mais ne dit-on pas “Interista una volta, Interista per sempre”?
En plus, Patrice ne tombe pas complètement dans l’inconnu. “J’ai toujours suivi l’Inter comme mon frère Greg (oui, on parle bien de notre co-vice-président) est un grand fan. Et, donc, par curiosité, je suivais les résultats et les regardais régulièrement à la télévision, surtout en Ligue des champions”, explique-t-il.
L’habitant d’Euseigne, a même déjà eu le droit de goûter à la bave des crapauds. “J’ai des amis qui sont fanatiques de la Juve et aiment bien me chambrer”.
Ces derniers temps, Patrice suit davantage l’Inter car un Italien qui est passé par Sion y joue maintenant et plutôt bien.
Vous aurez reconnu Federico Dimarco. “On n’a pas eu assez le temps de le voir à Sion à cause de sa blessure”, regrette-t-il.
Son baptême du feu à San Siro, Patrice l’a en plus déjà fait. C’était en octobre 2022, à l’occasion d’Inter-Salernitana. Dans une magnifique ambiance et devant des buts de Lautaro et Barella.
“Maintenant que je fais partie de l’Inter Club Valais, c’est l’occasion de découvrir davantage l’Inter”, conclut-il.
Et plus si affinités?
Vous l’aurez compris, Patrice a tout pour devenir un supporter inconditionnel de la Beneamata.
Christian commence très jeune à regarder des matchs de foot avec ses oncles et ses cousins. Ils étaient principalement pour l’Inter ou pour la Juve et une belle rivalité flambait entre eux. Christian, lui, ne passera évidemment pas du côté obscur de la force.
Un certain Ronaldo, «Il Fenomeno» lui fait tomber amoureux de nos couleurs. «Je me rappelle que tout le monde parlait de lui et je ne comprenais pas pourquoi, jusqu’au jour où j’ai vu les premières images de lui sur Rai 1», se souvient-il. «Un vrai magicien, il faisait ce qu’il voulait avec le ballon et ça avait l’air tellement facile.»
Ronaldo, mais pas que. Recoba qui marquait des buts depuis n’importe quelle position du terrain, Javier Zanetti qui courrait deux fois plus que tous les autres, Zamorano ou encore Baggio le gravent le noir et bleu dans le sang. Puis les années suivantes Vieri, Cambiasso, Stankovic, Materazzi et bien d’autres. Sans oublier l’arrivée de l’Imperatore Adriano qui a été selon lui l’un des joueurs les plus complets à avoir jouer pour l’Inter. «Je passais mes dimanches après-midi devant le télétexte de la Rai pour savoir qui allait marquer», sourit Christian.
Comme premier match au stade à Milan, il a la chance d’assister à un derby. À un derby victorieux qui plus est. Celui à haute tension du 11 mars 2007. «Ronaldo marque pour le Milan puis Ibrahimovic nous offre la victoire avec un doublé, et ce malgré son état de santé comme il était plié en deux tout le match», se remémore-t-il. «San Siro plein à craquer, les chants de la Curva Nord, la foule en délire: que du bonheur.» Par la suite, avec des amis et des cousins, il prendra plusieurs années d’affilée l’abonnement pour soutenir «la nostra» Inter.
Que représente l’Inter pour Christian?
«Des bons souvenir, mais ça m’a appris aussi à souffrir. En résumé, l’Inter, c’est des peines, des joies mais avant tout une passion et un état d’esprit!»
Liridon est devenu fan de l’Inter en 96-98 au Kosovo grâce à son cousin Bekim qui suivait les matchs de l’Inter et surtout ceux de Ronaldo.
«Notre tendance à aimer souffrir année après année a soudé notre amour pour les couleurs nerazzurri», déclare le Martignerain.
Son coup de cœur?
Javier Zanetti. «Son élégance, sa fidélité, sa loyauté et son humanité m’ont fait aimer ce club», explique-t-il, en admettant avoir aussi penser à Cambiasso, Milito ou Materazzi. «Ils ont forgé nos couleurs, mais le maître forgeron restera Zanetti.»
Il a la chance de vivre son premier match lors de la fête du 15e Scudetto, le 27 mai 2007, quand l’Inter battait le Torino 3-0. «Je me souviens encore du stade entier qui demande de changer le tireur de penalty du 3-0 et laisser Luis Figo transformer l’essai.»
Pour lui, l’Inter représente d’abord la souffrance et la frustration. «Savoir que les bons choix ont été faits et pourtant ne pas y arriver (on saura par la suite pourquoi et ceci même en 2023).»
Et surtout la Pazza Inter. «Une force inexplicable qui nous permet d’être capable de tout, du pire comme du meilleur. «Notre club est à part et personne ne peut comprendre à part ceux qui l’ont vécu.
J’essaie de transmettre tout ça à ma femme aujourd’hui.» Une anecdote? En 2010, pour la finale de la Champion’s League, il se déplace au Dôme de Milan avec près de 20 membres du forum Internazionale.fr venus de Belgique, de Suisse, de France et même de l’île Maurice.
«On s’est réunis avec la certitude que la victoire était écrite. On se connaissait uniquement virtuellement mais une même passion nous réunissait.»
Après le sacre, une rumeur circule: les joueurs vont revenir la nuit même.
Mais comment atteindre Meazza sans métro, train et voiture?
«Certains d’entre nous se persuadent qu’on peut faire les 7km à pied. Et ce sans savoir s’ils seront là.» Après avoir été pris en autostop à la moitié, ils arrivent au stade à 4h30. 50000 autres tifosi ont la même idée. «Le lendemain je suis rentré fatigué et sans voix. Cela restera mon plus grand souvenir depuis que je supporte l’Inter.»
Nous souhaitons la bienvenue à notre nouveau membre du comité, responsable des événements en Valais
Et sa présentation?
Elle suivra tout prochainement et on se réjouit d’en apprendre plus sur ce grand fan valaisan de l’Inter!
L’Inter Club Valais, fondé en 2022, est une association basée à Sion et officiellement rattachée à l’Inter Milan. Il représente le lien entre les fans valaisans, suisses et italiens qui vibrent pour les Nerazzurri.
Rejoignez l’Inter Club Valais et vivez votre passion pour les Nerazzurri au cœur d’une communauté unie de fans suisses et italiens, où chaque match devient une fête et chaque victoire une célébration partagée ! 🖤💙